C’est lors de la visite officielle du Roi Philippe et de la Reine Mathilde que j’ai pu réaliser ces portraits pendant leurs différentes activités. Certains de ces portraits, comme par exemple le Roi qui sort de sa la voiture alors qu’il va prendre l’avion pour rejoindre la belgique et le Palais de Laeken à Bruxelles. Ces photos montrent un homme détendu. Les autres portraits de la reine Mathilde ont été réalisés lors des visites, comme par exemple la découverte d’un théâtre antique, situé sur le cite archéologique de Théracos près d’Athènes. La reine portrait un chapeau style “Panama”. Le chapeau rouge de la reine provient de l’atelier de la créatrice Fabienne Delvigne à Bruxelles. Une photo montre un portrait souriant de la Reine Mathilde habillée de vert lors du diner de gala organisé par la présidence grecque. La dernière photo représente un portrait du Roi Philippe lors de sa descente de voiture avant de prendre le vol de retour.
La styliste Bruxelloise Esmeralda Ammoun présente sa nouvelle collection au 345 Av Louise
Voici les plus belles photos de l’événement. Le styliste Ruben Cesar a également présenté sa collection.
Retrouvez plus d’informations sur le syte de la styliste: https://www.esmeralda-ammoun.com/
Vous recherchez un photographe de portrait à Bruxelles ?
Si mon travaille vous intéresse prenez rendez-vous via téléphone ou par mail. Je répondrai à vos attentes.
Vous rejoignez mon studio à Uccle, cet appartement/studio vous accueille afin d”immortaliser un moment de vie.
Mon but est de vous rendre heureux par une image qui vous caractérise en toute beauté, en toute humanité et en toute simplicité afin que vous sortiez de cette expérience fier de votre image.
Olivier Polet
Vous arrivez dans le studio et je vous invite à vous asseoir sur un tabouret ou une chaise. Je commence à prendre des photos et j’adapte l’éclairage. Après 30 à 40 minutes de shooting, réalisé avec des éclairages différents, Je vous invite à regarder le travail et à sélectionner les photos que vous aimez.
Quelque jours après vous recevez les photos que vous avez sélectionnées en haute définition vis we-transfer.
Pour votre information, ces photos sont réalisées avec du matériel Fujifilm et des flashs Profoto.
Contactez moi par e-mail
ou directement par téléphone : 0495 20 48 69
Vous pouvez aussi retrouver de beaux portraits sur ma page http://photographe-polet.com/galleries/personnalites-belges/
instagram : polet.olivier
Ces portraits sont destinés à quatre thématiques différentes:
La société nextday capital a utilisé mes services pour la réalisation de portraits utilisés sur le site de présentation de la société. La demande était précise, je devais réaliser des portrait personnalisés.
Pierfrancesco Pozzi , un des directeurs de cette société m’a dit: “Faites autre chose que du portrait corporate classique“
Voici le résultat: https://nextdaycapital.com/who-we-are/
J’ai réalisé dans mon studio photo pour le magazine Max, supplément hebdomadaire des journaux de sud info un portrait intimiste de l’acteur chanteur, Mustii Alias Thomas Mustin. https://max.sudinfo.be/mode-beaute/rencontre-avec-mustii-pour-mon-look-je-travaille-avec-le-styliste-et-meilleur-ami-de
Ces portrait intimistes changent d’un portrait Linkedin
Vous avez besoin d’un portrait intimiste, réaliste ou simple portrait contactez moi: olivier.polet@skynet.be
J’ai reçu dans mon studio Bruxellois le célèbre DJ et producteur Henri Peiffer, en effet il était de passage à Bruxelles alors qu’il vit au Canada à Montréal. Le célèbre DJ Belge s’est confié au magazine Max supplément hebdomadaire des journaux sud presse.
Ces photos ont été réalisées avec des flash profoto et du matériel fuji plus précisément avec le XT4 et le 90mm f:2 et le 23 mm f:2 Une gélatine rose:rouge éclaire le fond.
J’ai réalisé pour le magazine Max supplément du samedi des journaux Sud info une photo, portrait de l’écrivain Franco Belge Eric Emmanuel Schmitt dans sa nouvelle demeure près de Charleroi. Vous pouvez découvrir l’interview complète sur le site du magazine: https://max.sudinfo.be/bouge/eric-emmanuel-schmitt-nous-recoit-chez-lui-jaimerais-etre-contagieux-au-niveau-de-loptimisme
La photo de couverture du magazine Max
J’ai réalisé le portrait de la chanteuse Bretonne Nolwenn Leroy pour le magazine Max supplément du samedi des journaux Sud Info.
Vous retrouvez la version on line de l’interview sur ce lien: https://max.sudinfo.be/tendances/dans-votre-max-de-ce-samedi-rencontre-avec-nolwenn-leroy-julie-taton-lance-sa-ligne-de
Toutes les photos sur http://photographe-polet.com/galleries/inondation-juillet-2021/
Tout a été dit ou presque sur les événements dramatiques qui ont secoué récemment une série de villages bordant la Vesdre et l’Ourthe.
Deux précisions d’emblée :
Le désastre
Jeudi 15 juillet 2021, vers la fin d’une matinée très pluvieuse, une masse colossale d’eau, animée d’une force inouïe, a subitement et littéralement explosé les bords de la Vesdre et de l’Ourthe, pour envahir les rues des villages avoisinant, emportant tout sur son passage et charriant une quantité inimaginable d’objets jusqu’à des kilomètres à la ronde.
Si les maisons groupées par quartiers ont subi avec une rapidité fulgurante un envahissement quasi instantané des caves, pour atteindre en quelques minutes plus de 2,5 mètres de haut au rez-de-chaussée, les maisons isolées, elles, ont subi de plein fouet la violence du choc de l’eau mais aussi des objets lourds, voitures et autres, voire des grands arbres arrachés pulvérisant des pans de mur entiers, des toits, des portes…
Le tribut en vies humaines est lourd : 41 personnes ont à ce jour perdu la vie dans ce drame. C’est une personne qui voulait en sauver une autre qui se retrouve emportée par le courant, une autre personne qui retourne vite à la cave pour sauver son chat, son chien, un objet précieux et se retrouve pris au piège, la porte se refermant par la force de l’eau, toutes situations plus tragiques l’une que l’autre. Et encore, nombreux furent les actes héroïques qui empêchèrent un nombre de victimes nettement plus important encore. On ne compte pas le nombre de valeureux Liégeois à s’être jetés à l’eau pour sauver une autre personne en péril et qui, sans cet acte généreux, n’aurait pas survécu.
Pour les animaux domestiques, si beaucoup ne purent en réchapper, nombreux aussi furent sauvés, notamment grâce à des interventions courageuses de leur maître ou de personnes bien décidées. C’est un habitant âgé du village qui, au sortir d’une opération à la clinique, est rentré dare-dare chez lui pour sauver son chien, l’a emporté in extremis au premier étage, et fut contraint ensuite d’attendre plus de deux jours avant l’arrivée des premiers secours : « Le lendemain de mon retour, je suis juste descendu, dans l’eau jusqu’à la taille, pour aller chercher une boîte de sardines et un paquet de biscottes, restées étanches, puis je suis remonté attendre les sauveteurs. » Deux villages plus loin, une vache a parcouru, elle, plusieurs dizaines de kilomètres à la nage avant d’atteindre la rive, saine et sauve.
Sur un plan plus matérialiste, on reste époustouflés devant l’ampleur des dégâts : combien de cabines de haute tension balayées comme des fétus de paille, combien de voitures emportées par le courant comme de vulgaires morceaux de papier, combien de camions, camionnettes, camping-cars retournés ou projetés contre les maisons, combien de vitres brisées par des meubles projetés par le courant contre les fenêtres, d’électroménagers hors d’usage, d’armoires, de vêtements, de chaussures, d’aliments, de matériaux de construction, d’outillages, etc.
Une dizaine de jours plus tard
Le pont qui enjambe la Vesdre est heureusement à nouveau accessible, après que les expertises d’hier eurent décrété l’absence de dangerosité, mise en question à cause des innombrables objets qui s’étaient fracassées contre lui les jours précédents. (Ce qui n’est pas le cas du pont suivant, complètement descellé, et donc sans doute pour un certain temps impraticable.)
Il est 7 heures du matin et nous pénétrons dans une ville fantôme.
Nous parcourons lentement le village et constatons avec une certaine surprise que, depuis la catastrophe, les ouvriers ont déjà dégagé des quantités phénoménales de débris, en direction de la décharge improvisée, sur ce qui était un grand parking, le long du terrain de football communal.
Justement, nous arrivons en vue de ce monumental tertre de déchets, où l’on retrouve à peu près tout ce que peut offrir l’intérieur d’une habitation au XXIe siècle : ici, le frigo double porte dernier modèle complètement démoli – il méritait qu’on fasse cet emprunt sur trois ans parce qu’il donnait des glaçons -, là, le salon canapé d’angle et ses deux fauteuils club où le chien voulait toujours grimper malgré l’interdiction de ses maîtres pour-ne-pas-salir, maintenant complètement submergé de boue, là encore le tableau que le grand-père avait emporté dans ses maigres bagages en venant des Asturies, à présent en morceaux, puis les verres en cristal pour les grandes occasions et que l’on manipulait avec un soin infini, il en reste un intact sur la douzaine, les pantoufles de Pépé qu’on lui avait offertes à Noël, complètement en lambeaux, toute la panoplie de Barbie, fierté de la petite dernière, déchiquetée sous un paquet de légumes pourris, des gants de boxe, kimonos, raquettes, chaussures de sport en vrac au milieu d’un tas de boue, etc. Triste sort commun pour ces innombrables objets qui avaient coûté tant d’efforts et d’économies…
Quelques pas sur la voie ferrée – désormais désaffectée « pour un certain temps » étant donné l’éboulement grave d’un bas-côté sur une partie de la voie – nous donnent l’impression que toute une vie s’est arrêtée en un coup, dans ce village où il faisait si bon vivre, en paix et en famille, comme dans n’importe quel village de la région, ici doté d’un paysage particulièrement joli.
Une dame toujours souriante assure, depuis les tout débuts après le drame, la signalisation au sortir d’un mini tunnel sous le chemin de fer qui passe dans le village. Grâce à cette précieuse bénévole, aucun accident n’a eu lieu entre les incessants camions, tracteurs, grues et bulldozers qui se sont succédé, assurant le trajet entre les montagnes de débris amassés par les habitants dégageant leurs maisons et le parking du terrain de football communal, où ils les déposaient dans l’urgence, afin de dégager au plus vite les routes du village.
Plus loin, ce qui était des jardins et de grandes prairies bucoliques est devenu un immense champ de bataille, jonché de morceaux de béton, de motos, d’appareils de toutes sortes, plastiques, frigos, cuisinières, bref, de tout ce qui fut expulsé des maisons parfois à des kilomètres de là. Le tout forme maintenant un ensemble complètement figé, comme après une éruption volcanique.
On entrevoit une dépouille de mouton, gonflée à éclater, et qui sera emportée sous peu par les services ad hoc, vu les dangers de contamination.
Nous retournons à l’intérieur du village, et nous engageons dans l’église, non sans avoir remarqué l’écriteau placé devant l’entrée « Servez-vous » : si les chaises ont été sorties au soleil, toute la nef est envahie de tables remplies de dons alimentaires périssables et non périssables, alors qu’un bénévole venu de Liège est en train de touiller une authentique sauce bolognaise sur un réchaud au gaz. Un autre bénévole, le responsable de l’accueil des dons, lui aussi un « étranger » à la commune de Trooz, nous donne de précieuses indications quant aux dons à faire ou à ne pas faire en ce moment.
Tout don alimentaire non périssable sur place est toujours bienvenu, ainsi que des appareils de cuisine au gaz (16 €) et des bombonnes ad hoc (1,5 €). Par contre, les appareils électroménagers électriques ne seront d’aucune utilité avant des mois, vu le problème d’électricité qui pénalise toute la région depuis la catastrophe. En ce qui concerne la vaisselle, assiettes, verres, vêtements, meubles, etc. il vaut mieux s’adresser aux associations précises (cf internet)
Mais dans cette église, outre l’émotion procurée par la solidarité générale qui alimente les dons et suppose donc un énorme mouvement populaire, un spectacle particulièrement touchant attire le regard : un étalage impressionnant de photos petit format est présenté aux visiteurs, dans le but de faire retrouver leurs propriétaires à toutes ces photos « sauvées » du naufrage…
Enfin, plus discrètement disposée sur un des murs, une icône extrêmement significative : il s’agit de la Vierge noire de Jasna Gora (Pologne). En effet, ce sont les Polonais (ainsi que les Espagnols des Asturies) qui peuplèrent principalement ce village de La Broucke, dans les années 1960, raison pour laquelle le lieu était appelé alors « La petite Pologne ».
Nous adressons nos remerciements les plus sincères et notre respect le plus profond à toute la population de La Brouck pour sa gentillesse et les réponses à nos questions lors de nos visites, en particulier Mireille, Carlos, le monsieur avec son chien akita, la dame qui réglait la circulation, le monsieur qui nous a montré les dégâts dans sa maison, et tous les autres anonymes dont l’amabilité, le sourire et une immense dignité ont mérité le respect de tous et nous ont profondément touchés. Nous leur souhaitons un énorme courage pour la suite et une continuation la plus utile de la solidarité générale en leur faveur.
Texte: Patrick Darmstaedter
Reportage photo sur la princesse Elisabeth de Belgique lors de son entrainement en tant qu’élève officier au centre militaire de Lagland à Arlon.
La diffusion de ces photo aux journaux et magazines se fait grâce à l’agence Isopix
Ces photos professionnelles ont été réalisées avec un fuji XT4 et son zoom Fujinon 50/140 mm f:2,8 à 1250 iso
Le coq de l’église du parvis St Pierre à Uccle joue avec le soleil
Ces photos ont été réalisées dans des conditions de lumières difficiles, j’ai utilisé mon boitier Fujinon XT4 avec le zoom Fujinon 100/400 mm et le multiplicateur de focale 1,4 X. L’obturateur électronique m’a permis d’immortaliser la scène au 1/32000 de secondes à f: 32
Ces photos ont été réalisées sur le parvis St Pierre à Uccle avec le coq de l’église en avant plan.
Il est rare que la Neige tienne dans les rues de Bruxelles, souvent cette neige fond très rapidement et devient bouseuse. Ce reportage montre des scènes de nuit. Ces photos insolites et rares mettent en valeur la capitale européenne, et la montre sous un jour peu connu.
J’ai utilisé le fujifilm XT4 avec le fujinon 35mm f:2
Couverture du supplément de la DH consacré aux métiers peu connus des hôpitaux, véritables héros de l’ombre lors des deux vagues de la Covid-19 à Bruxelles. Les hôpitaux Iris Sud nous ont ouvert leurs portes afin de réaliser un reportage texte et photos sur ces travailleurs méconnus.
Vous pouvez retrouver sur le site de la DH un web documentaire sur ce sujet: https://dossiers.dhnet.be/les-heros-de-l-ombre-de-l-hopital/
Un hôpital ressemble à une petite ville, un micrososme dans lequel travaillent des milliers de personnes. Pas uniquement des infirmières et des médecins. De nombreux métiers s’y croisent. Pendant cette période de Covid, toutes ces professions ont été mises à l’épreuve. La DH leur rend hommage.
Comment nous avons réalisé ce reportage
Lors de la première vague de la Covid-19, j’ai réalisé plusieurs reportages dans les hôpitaux Iris Sud. J’ai constaté qu’une multitude de personnes qui ne faisaient pas partie des services covid, habillées avec des vêtements de protection, venaient y travailler, que ce soit la technicienne de surface ou une nutritionniste en passant par la kiné, une porte qui frotte, le menuisier arrive…
J’ai donc proposé à la responsable de la communication Delphine Jarosinski de pouvoir réaliser un grand reportage sur ces métiers de l’ombre. Delphine trouvait l’idée excellente, on pouvait mettre à l’honneur ce personnel-là ! Le fonds du journalisme m’a accordé une bourse, je remercie Jean-Pierre Borloo, du fonds du journalisme, et Thierry Remacle, rédacteur en chef adjoint de la DH qui trouve l’idée très bonne et propose à sa direction de réaliser un supplément de douze pages. Je serai accompagné du talentueux rédacteur Ludovic Jimenez pendant les trois semaines de cette immersion dans les coulisses des hôpitaux Iris Sud.
Remerciements
Je tiens à remercier :
Et bien entendu le personnel des hôpitaux Iris Sud pour leur confiance.
Le matériel utilisé
Afin de réaliser ce reportage dans les meilleures conditions et de manière discrète. j’ai utilisé des optique fixes, légères.
Armé de mes deux fuji XT4, j’ai utilisé trois optiques fixes : les optiques Fujinon 16 mm f:1,4 et 35 mm f:2 R WR ainsi que le téléobjectif 90 mm f:2, probablement l’une des meilleures optiques construites par Fujifilm.
J’ai développé les photos dans le logiciel Capture One en désaturant légèrement les couleurs.
Voici ma sélection de photos extraites du reportage :
Vous pouvez retrouver toutes ces photos dans ma galerie sur: http://photographe-polet.com/galleries/reportage-recent-les-metiers-de-lombre-dans-les-hopitaux/
La Princesse de Saxe Cobourg n’a pas pu retenir ses larmes lors de la conférence de presse de Delphine, nouvelle Princesse de Belgique, lorsqu’un journaliste a évoqué le soutien de son mari Jim lors de cette épreuve qui a duré sept ans. Ces photos émouvantes réalisées à Bruxelles dans un auditoire de l’ULB, montre Delphine très émue.
Ce reportage est diffusé par l’agence Isopix: https://www.isopix.be/highlights.aspx
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J’ai contacté le service de presse des hôpitaux Iris Sud afin de réaliser un reportage exclusif dans des unités Covid de deux hôpitaux bruxellois. Le premier l’hôpital Molière est situé à la frontière entre la commune d’Uccle et de Forest. Le deuxième est l’hôpital Bracops situé à Anderlecht.
N’importe qui ne rentre pas dans ces hôpitaux qui gèrent l’afflux de malades touchés par la pandémie de Coronavirus. Le service presse a pris en compte mes compétences de discrétion et de pouvoir me fondre dans un univers particulier sans déranger les personnes qui travaillent dans les services Covid. J’ai garanti également l’anonymat des patients, c’est ce qu’on appelle le droit à l’image.
Généralement, je ne me prends pas en photo, voici une photo de l’envers du décor
Chaque fois que l’on rentre dans une chambre d’un malade du Covid, en plus de l’uniforme d’infirmier que je porte, je dois rajouter une sur-blouse.
Une paire de gants, une visière qui me protège des projections, et deux masques supplémentaires, ainsi qu’un bonnet, surtout quand les cheveux sont longs !
En sortant de la chambre de la personne contaminée, je dois enlever la sur blouse, les gants, ainsi que les deux masques supplémentaires posés sur le premier.
Il reste un peu de place pour mon boitier Fujifilm XT3, que j’utilise avec trois optiques fixes. un 16mm f: 1,2 un 35mm f:2 et un 90 mm f:2
Ce matériel léger et discret, correspond bien pour ma mission
Après ce reportage photo, mon professionnalisme a été récompensé par une belle publication de six doubles pages dans le magazine Paris Match ainsi qu’un couverture.
J’ai en effet passé deux jours dans deux hôpitaux bruxellois. Je suis resté dans l’hôpital Molière la journée et dans une unité COVID le début de soirée dans l’hôpital Bracops. J’y ai suivi les infirmières dans leur travail quotidien près des malades infectés. En début de soirée, accompagnant une infirmière dans la chambre d’une dame malade, un superbe coucher de soleil nous a accompagné pendant que l’infirmière faisait les derniers soins avant qu’elle s’endorme.
J’ai continué mon reportage à l’hôpital Bracops, dans une unité de soins intensifs dans les même conditions de confiance. Les chambres vitrées sont protégées par des persiennes, et de grandes fenêtres qui donnent beaucoup de lumière et de chaleurs dans ces chambres réservées aux cas graves.
Dans un autre département de l’hôpital Bracops, à l’unité Covid, c’est la fête, les infirmières se défoulent de l’extrême tension de la journée.
Vous avez besoin d’un photographe professionnel à Bruxelles, contactez moi: