Le bureau d’architecte paysagiste JNC International situé à Uccle est spécialisé en URBAN DESIGN et LANDSCAPE DESIGN. La force du bureau d’architecture JNC est d’intégrer et de développer dans sa conception de projet le respect des paysages naturels.
En premier lieu, ma mission était de réaliser les portraits corporate des cadres dirigeants du bureau d’architectur JNC et de réaliser des photos d’ambiance qui serviront pour une publication dans le magazine de l’Éventail du mois de mars.
Situé dans une ancienne usine, le centre de bureau s’appelle «The globe village». Les bureaux de JNC ressemblent à un grand loft aménagé. Les murs de briques blancs ont servi naturellement de fond. Nous avons choisi «La cafétéria», espace de détente, assez grand et très lumineux, pour notre shooting portrait, c’était le lieu idéal pour le transformer en studio photo éphémère,
Pendant l’installation du matériel et les essaies des flashs et réflecteurs on a maquillé très légèrement les membres de chez JNC afin de «matifier» le visage, étape importante qui permet de limiter les reflets sur la peau.
On démonte l’éclairage et les réflecteurs pour se rendre dans un espace convivial destiné aux architectes. C’est dans cet espace que les projets prennent vie. Des dizaines de plans d’architecture, croquis, ébauche de projets sont présents. Pour une question de secrets professionnels, nous devons en enlever certains. Après cette préparation d’usage, l’équipe s’installe autour d’une table haute. Une photo des collaborateurs sera utilisée pour le magazine Éventail du mars 2020.
Reportage sur le bureau d’architecture JNC International dans le Magazine Eventail de mars 2020
On en profite pour réaliser quelques photos qui pourront également servir pour d’autres médias.
Il est déjà temps de ranger notre matériel, ces prises de vues se sont déroulées sur une durée de quatre heures, il me reste à rentrer au studio pour faire le choix des images et les retoucher en post-production.
Vous désirez comme le bureau d’architectes JNC de Uccle avoir des photos portrait d’entreprise ou un reportage photo, n’hésitez pas à me contacter
J’ai réalisé lors d’un repérage d’ambiance visuel pour une entreprise, ces photos d’un coucher de soleil hivernal sur la capitale de l’Europe. Cette série de photos réalisées sur les toits de Bruxelles, profite d’une belle lumière de fin de journée où l’arrière-plan semble sorti d’un décor de film.
Vous désirer des renseignements sur un reportage photos, n’hésitez pas à me contacter
La flèche de la grande place de Bruxelles. © Olivier Polet
Le Mont des Arts de Bruxelles © Olivier Polet
Matériel utilisé : Grâce au Fujifilm XT3 et à ses merveilleuses optiques dont le fameux 50/140 mm f:2,8. Ces photos ont été retouchées avec le logiciel, capture One 20 pour donner une légère saturation du ciel.
En ce qui concerne la diffusion de ces photos, elle est assurée par l’agence isopix: https://www.isopix.be/
Je suis photographe professionnel à Bruxelles: si vous avez besoin d’un reportage lors de votre conférence contactez moi au 0495 20 48 69 ou via mail: olivier.polet@skynet.be
I am a professional photographer in Brussel’s, if you need me to shoot pictures during you conférence, dont’ hesitate to contact me on 0495 20 48 69 or via mail: olivier.polet@skynet.be
Ces photos ont été réalisées dans des grands sites de conférence à Bruxelles, sur ce point les sites dans lesquels j’ai travaillé se trouvent à travers la capitale Européenne.
Sur une de ces photos vous pouvez apercevoir Thierry Geerts, Directeur de Google Belgique.
Ces photos donnent un aspect extraordinaire de l’entreprise métallurgique NLMK, qui fabrique des bobines de fer. Le traitement de ces photos est réalisé grâce à l’application Nik Software, qui grâce à son outil HDR efex pro 2, produit des fichiers exceptionnels. Cette application permet d’afficher un maximum de détails dans toutes les tonalités de la prise de vue. Ce résultat donne un effet flatteur aux images, qui augmente l’aspect esthétique de cette entreprise et lui donne un aspect féerique et envoutant.
Vous avez besoins pour votre entreprise d’un reportage photographique professionnel. N’hésitez pas à me contacter par mail ou par téléphone.
Cette bobine de tôle est appelée : coil. Une bobine de tôle pèse en moyenne 12 tonnes, mais peuvent dépasser les 25 tonnes avec, généralement, une largeur de 1 250 à 2 000 mm. L’intérêt de grosses bobines pour l’industrie de la transformation est lié à la manutention.
NLMK La Louvière © Olivier Polet
La chaine de laminage à chaud de l’industriel NLMK La Louvière © Olivier Polet
En plus d’un test, ce reportage corporate montre des photos d’ambiance assez originales d’une usine désaffectée.
En tant que X ambassadeur, Fuji Belgique m’a permis de tester leur nouveau boitier grand format en presque exclusivité. Voici mes premières impressions: j’ai utilisé ce boitier dans des circonstances de reportage, certaines photos ont aussi été réalisées sur pieds. Je dois réaliser un reportage sur l’assainissement d’une usine, le sujet -je trouve- ce prête bien à l’essai de ce boitier, il y a des puits de lumières, des couleurs assez fortes, et une activité humaine dans une ambiance poussiéreuse. Reportage photo très photogénique ! Le tout nouveau GFX correspond parfaitement à ce type de reportage.
La prise en main, le boitier comme un gros boitier reflex tient très bien en main, la prise est excellente que ce soit en vertical ou en horizontal. Les photographes habitués aux boitiers de la série X, ne seront pas désorientés, les fonctions et le menu sont quasi identiques. J’ai réalisé des prises de vue au 1/30 de seconde sans qu’il y aie la moindre vibration. Quoi que plus lourd que son petit frère le XT2, le poids est tout à fait supportable, la finition est irréprochable, le zoom grand angle que Fuji m’avait prêté (le 32/64 mm qui ouvre à f:4) me semble très bien conçue avec une belle fluidité et fermeté dans la bague Zoom.
Cerise sur le gâteau l’écran est tactile, ce qui permet de vérifier la netteté de l’image quand l’on sait que le point est parfois une difficulté des boitiers grands formats, ce petit plus se révèle très utile. Les fichiers jpg qui sortent du boitier sont de très belle qualité, qui que peut être un peux mous… Les fichiers présentés ont été traités avec lightroom, et sont tous passés dans l’application de Nik software en HDR. Ce type de traitement correspond bien à ce type de prise de vue. Toutes les photos ont été réalisées en automatique, en utilisant le mode de compensation. Ce mode est d’ailleurs un peu moins accessible que sur la série X. A noter que la superbe lanière qui maintient le boitier au cou ne serait pas du luxe si elle apparaissait sur la série X. Ce type de boitier Fuji convient parfaitement aux reportages corporate qui demandent flexibilité et qualité.
La société qui gère l’infrastructure du port de Bruxelles m’a demandé de réaliser un reportage photographique sur le port de Bruxelles.
J’ai profité d’une des dernières belles journées de la fin de l’année afin de réaliser ces photos.
J’ai utilisé mon boitier fuji XT1, ainsi qu’une série de filtre, des dégradés neutre afin de diminuer le contraste qui existe entre le canal souvent dans l’ombre et les maisons au dessus du canal.
Ce boitier léger et ces extraordinaires optique m’ont permis de me promener légèrement et d’attendre les péniches qui ne sont pas si nombreuses que cela. Le trafic est plus important le matin, certaines barges sont aussi poussées par un petit bateau poussoir.
Ce travail m’a permis de découvrir des endroits totalement exceptionnels. A certains endroits du canal non loin de CERIA, des péniches habitées bordent le canal.
Depuis quelques semaines je collabore avec le grand quotidien économique l’écho.
Je réalise pour ce journal économique, des portraits de CEO, de managers de grandes entreprises actives en Belgique.
Mon premier reportage m’a emmené à Gosselies dans une start up qui développe des vaccins à moindre cout.
Cette société s’appelle Univercells, la photo choisie par le quotidien représente la responsable du labo qui observe des cellules souches
qui serviront à la fabrication de vaccins.
Un deuxième reportage m’a amené à la gare de Schaerbeeck où j’ai photographié la directrice générale de Thalys, Agnès Ogier qui pose en compagnie du directeur du WWF, Antoine Lebrun.
Directement après ce portrait j’ai photographié pendant l’interview le bouillonnant directeur de VOO, Frédéric Vandeschoor.
Le journaliste qui a réalisé cette interview est Philippe Lawsson.
Le jour d’après, grand moment de reportage, martin Buxant, journaliste à l’écho réalisait l’interview du frère de Marc Goblet, Jean pierre,
cet entrepreneur, règle ses comptes avec son frère.
Toutes ces photos ont été réalisées en lumière d’ambiance avec le fuji XT1 et ses superbes optiques, le petit télé 56 mm 1,2 et le grand angle 16 mm.
Cet appareil léger, compact et silencieux se révèle être dans ce style de reportage un allié performant et très efficace.
Ces photos ont toutes été réalisées avec le boitier de Fuji XT 1 et avec ses merveilleuses optiques fixes, dont le fabuleux 56 mm 1,2 f et le nouveau grand-angle, 16 mm 1,4 f. Ces deux optiques sont parfaits pour ce type d’exercice, allié à une belle couleur naturelle, ils permettent grâce au boitier si léger de passer inaperçu et de se fondre dans le paysage.
Cet appareil photo avec son nouveau système de mise au point qui accroche le point très rapidement avec beaucoup moins d’hésitation qu’avant permet de travailler très rapidement, ce qui permet aux prises de vues d’être meilleures.
La photo de portrait exige une certaine complicité entre le modèle et le photographe afin qu’il puisse être en confiance.
Une particularité de ce type de prise de vue est que le photographe n’utilise pas de flashs, ce qui facilite la communication entre le modèle.
Le travail en photo d’ambiance naturelle continue au traitement de l’image, soit avec Capture One et après avec Photoshop si nécessaire.
Pour ce travail si, seule la vue générale de Céline Fremault, devant sa table a demandé une certaine quantité de retouche photo afin d’assombrir les bords de l’image et faire ressortir le sujet principal.
Un léger maquillage permet de matifier la peau et d’éviter les reflets.
vous pouvez retrouver le site de la marque sur ce lien: https://www.gessi.com/fr/?locale=76
Découvrez les photos de ce design italien exceptionnel, ainsi que la finition apportée à ces objets de tous les jours. Le reportage corporate met en valeur les objets, la marque en photographiant des détails, en jouant avec les ambiances des créateurs de stands pour qui le design doit transcender l’ambiance.
Ce design Italien équipe les plus beaux hôtels dans le monde
Ces photos ont été réalisées grâce au Fuji XT1, cet appareil léger et ses fabuleuses optiques m’ont permis de recréer toute l’ambiance magique de ce Stand de Batibouw.
Reportage photo réalisé pour Infrabel à Lustin.
A Lustin, un travail d’équilibriste sur un site exceptionnel
Sur la plupart des sites, comme sur celui de Lustin actuellement en cours de réalisation, les travaux imposent l’intervention d’une équipe d’alpinistes spécialisés. Leur mission? Poser des filets métalliques aux endroits où les roches sont les plus instables. Une tâche ardue qui nécessite de forer sur une profondeur allant jusqu’à 3 mètres afin de poser les fixations des filets. Le tout, le plus souvent, suspendu dans le vide. A Lustin, ils évoluent à près de 100 mètres de hauteur.
Ailleurs, de telles mesures sont jugées insuffisantes. Ainsi, à Rhisnes (Ligne 161 Ottignies-Gembloux-Namur) un talus constitué de massifs fortement fracturés devra être aplani sur une longueur de 200 mètres, tout en aménageant des pare-blocs et autres chambres d’éboulis. Facture : 4 millions d’€. A La Gleize (commune de Stoumont) les voies doivent être protégées par une tranchée en béton armé longue de 150 mètres. Coût des travaux 2.850.000€.
Avec l’aboutissement du chantier de Lustin, en une dizaine d’années, la totalité des sites qualifiés de « priorité n°1 » par les experts a été traité. Mis « bout-à-bout », cela représente 10 km de parois pour un coût total de 30 millions d’€. Sous peu, et tout en poursuivant l’inspection des centaines de sites potentiellement problématiques (au rythme d’une visite tous les 3 à 5 ans), les équipes techniques d’Infrabel poursuivront une nouvelle phase de ce chantier : le traitement des parois dites « de priorité 2 ». Ce travail d’une ampleur inédite en Belgique durera de longues années encore afin de renforcer la sécurité… et donc d’éviter la fermeture temporaire ou définitive de nombreuses lignes ferroviaires.
En 2014, Infrabel investira encore pour ce faire pas moins de 2 millions €.
Ces photos professionnelles ont été réalisées avec le Canon 5 D Mk III .